Vendredi 10. Nous passons notre dernière journée en Espagne sur
les plages de Barcelone. En fin d’après-midi nous regagnons le port, où Mamine
et Patrick nous attendent. Ils sont venus nous retrouver pour partager, une nouvelle
fois, un morceau de notre voyage.
Samedi 11. Après une nuit et une matinée sur le bateau, nous débarquons
en sol sarde. Patrick, qui avait pédalé avec nous au début de notre périple a
changé de monture… Il a désormais un superbe vélo électrique. Quant à Mamine,
elle a installé sur sa voiture un porte vélo. Elle peut aussi transporter
les enfants et une partie de nos bagages. Nous avons donc à présent une
assistante et un « assisté »… !
En route pour Nulvi, où nous avons loué une petite maison à
la campagne pour fêter nos retrouvailles et étudier la suite de notre trajet.
Dimanche, lundi, mardi. Au milieu des champs, au son des
cloches des brebis, nous visitons les alentours. A pied, une église perchée sur
une colline. A vélo, les thermes de Caseldoria. En voiture, le village de
Castelsardo.
Mercredi. Convoi exceptionnel. La voiture de Mamine bien
chargée, nos vélos plus légers, nous empruntons de jolies petites routes, peu
fréquentées qui serpentent à travers champs, maquis et chênes liège.
En fin de journée, dans la « valle della Luna »,
près d’Aggius, nous trouvons un endroit pour poser nos tentes. Dans les
montagnes, entourés de drôles rochers, nous passons la soirée autour d’un feu.
Jeudi. L’intérieur de l’île nous paraît vraiment
« désert » et nous nous demandons à quoi peut bien ressembler la
côte… Après, une série de montées et descentes, nous arrivons à Costa
Paradiso ! Ici, pas d’immeubles ou de complexes hôteliers gigantesques, simplement
de petites maisons accrochées à la montagne, plutôt bien intégrées dans le
paysage, de la même couleur que les rochers. Nous avons prévu de passer 3 nuits
dans l’une d’entre elle. Nous dominons la mer, nous apercevons même la Corse et
ses sommets, encore enneigés.
Vendredi 17, samedi 18. Tutti alla spaggia ! Nous partons
découvrir la petite plage de Li Cossi, les criques désertes et l’eau bleue
turquoise. A cette époque, on n’est vraiment pas dérangés par la foule….Et malgré une eau encore un peu fraîche et des oursins bien présents, petits et
grands profitent des plaisirs de la mer. Ce que nous n’avons pas eu le temps de
faire à Majorque, nous le faisons en Sardaigne…
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Ahhh, quand même des nouvelles....Je vois que vous avez des belles moments avec autres "pedaleurs".....la nature sauvage, belles fotos...alé hop....bonne courage mes amis!! Beaucoup des salutations de Majorque et de notre école des langues à Inca.... Un beso!!!
RépondreSupprimerEt aussi beaucoup de "bonjours" dès l'école de langues de Ponferrada où je me trouve maintenant....On va " vous suivre", mais on va commencer au Portugal: on ira avec notre superfourgonnette au parc de Peneda-Gerês (ça vous dit?) la semaine prochaine...Il se peut qu'un jour on arrive à Cerdeña...Vraiemnt ça à l'air sympa!
RépondreSupprimerOn ne vous oublie pas, même si on a l'impression que vous êtes un peu "plus loin" depuis que vous avez quitté l'Espagne.
Bisous.