Lundi 6. Après le superbe coucher de soleil de la
veille sur la plage de Barra, nous reprenons notre chemin le long de l’océan.
Au milieu des pins, nous empruntons une route secondaire en très mauvais état, l’assurance
de ne croiser quasiment aucun véhicule ! La végétation et les longues lignes
droites nous rappellent les Landes. L’été indien est fini, la journée se
termine sous la pluie. Nous trouvons refuge Chez Odete, un charmant petit hôtel
de centre ville.
Mardi. 50 km avec le vent dans le nez : nous ne sommes pas mécontents lorsque nous arrivons chez José, membre de Warmshowers, après cette étape éprouvante. Ce soir là, nous sommes 11 à table ! José et sa femme Anna ont cinq enfants. Ils ont la générosité et la gentillesse de convier 4 affamés de plus pour le dîner et de nous proposer la salle de jeux comme dortoir. La soirée est animée ! Entre les devoirs, le repas, le coucher, et le temps qu’ils nous accordent, la journée de José et Anna est finalement bien plus sportive que la nôtre ! MUITO OBRIGADO !
MERCI Adriano ! |
Jeudi. Nous remercions Adriano. Sous un ciel finalement bien clément, nous sommes heureux de retrouver le chemin des montagnes. C’est en début d’après-midi que nous prenons possession de notre nouvelle demeure, pour la semaine.
Depuis vendredi. Patrick et Mamine sont arrivés. Même
si le temps n’est pas de la partie, nous profitons d’eux et de notre maison
bleue, confortable et conviviale. Après plusieurs mois de nomadisme, la sensation est étrange de se retrouver enfermés, souvent bloqués
par la pluie. Heureusement, quand ça se calme, on peut quand même se balader, visiter
le coin et même profiter de la piscine. Un
peu d’efforts pour mériter apéros et bons petits plats mijotés !
Enfin la suite ! On l' attendait avec impatience.
RépondreSupprimerNous vous souhaitons une météo plus clémente. Adeus !
M et Y
alors autant je vous enviais bien sur les autres articles, autant là... un peu moins.
RépondreSupprimerj'espère en tout cas que vous en avez fini avec le mauvais temps et vous pourrez voyager
rapidement dans de meilleures conditions.
mais je suis sûr que vous avez mis toutes les chances de votre côté en brûlant un cierge au monastère
d'alcobaça. (en tant que fervents pratiquants, à la limte de l'intégrisme religieux, vous n'avez pas pu oublier)
bonne route - plein de Soleil - et du vent dans le dos!
anthony